Autonomie d’une trottinette ou d’un vélo électrique : comment l’optimiser au maximum ?

Autonomie d’une trottinette ou d’un vélo électrique : comment l’optimiser au maximum ? Quand on investit dans une trottinette ou un vélo électrique, une des premières questions qu’on se pose, c’est : “Combien de kilomètres je vais pouvoir faire ?” Et surtout : “Comment faire pour ne pas tomber en rade à mi-parcours ?” Chez Morbitrotti, on vous aide à comprendre les vrais facteurs qui influencent l’autonomie, et on vous donne des astuces concrètes pour en profiter au max. D’abord, c’est quoi l’autonomie réelle ? L’autonomie indiquée par le constructeur (ex. : « jusqu’à 45 km ») est une estimation dans des conditions idéales : utilisateur léger, route plate, temps sec, mode éco, etc.Dans la vraie vie ? Ça dépend de plein de choses : 6 facteurs qui font varier l’autonomie Le poids transportéPlus vous êtes chargé·e (vous + sac + courses…), plus la batterie travaille. Le type de terrainMontées = plus de puissance demandée = batterie qui fond. La température extérieureFroid = batterie moins performante. Par -5 °C, on peut perdre jusqu’à 30 % d’autonomie. La pression des pneusDes pneus sous-gonflés augmentent la résistance au roulement. Résultat : perte d’autonomie. Le mode de conduiteEn mode sport ou boost, vous consommez plus. Adopter un style de conduite fluide, c’est la clé. Les arrêts/redémarrages fréquentsComme en voiture, démarrer souvent consomme plus que rouler à vitesse constante. Comment optimiser son autonomie ? Nos conseils simples Gonflez bien vos pneus : une fois par semaine si vous roulez souvent. Adoptez une conduite souple : pas de coups d’accélérateur inutiles. Évitez le mode sport sauf besoin urgent. Chargez votre batterie à température ambiante. Rangez votre engin dans un endroit sec et tempéré. Rechargez régulièrement, même sans usage intensif, pour éviter que la batterie ne se dégrade Bonus : comprendre l’indicateur de batterie – Quand il reste 20 %, la puissance peut baisser automatiquement pour préserver la batterie. – Pour un trajet important, ne partez pas avec moins de 50 %, même si « ça devrait passer ».
Le casque est-il obligatoire en trottinette ou vélo électrique ?

Le casque est-il obligatoire en trottinette ou vélo électrique ? C’est LA question qu’on nous pose tout le temps : est-ce qu’on doit porter un casque quand on roule en trottinette ou vélo électrique ? Et surtout… est-ce que c’est vraiment utile ? On vous explique tout — la loi, les bons réflexes, et pourquoi, chez Morbitrotti, on pense que le casque devrait devenir votre meilleur pote de ride. Ce que dit la loi : casque obligatoire ou non ? En vélo électrique (VAE, jusqu’à 25 km/h) : Casque obligatoire pour les moins de 12 ans, conducteur ou passager. Recommandé mais non obligatoire pour les 12 ans et plus. En trottinette électrique : Pour un usage sur voie publique, le casque n’est pas obligatoire, quel que soit l’âge… mais fortement conseillé. À noter : pour les engins allant au-delà de 25 km/h (type speed bike ou trottinette débridée), on passe dans une autre catégorie de véhicules, avec des règles plus strictes. Et là, le casque homologué devient obligatoire. Ce que dit la réalité : la sécurité avant tout Même à faible vitesse, une chute peut avoir des conséquences lourdes, surtout sur la tête. Le casque permet de réduire jusqu’à 85 % le risque de traumatisme crânien. Et puis, soyons honnêtes : entre les nids-de-poule, les voitures distraites, la pluie ou les piétons qui traversent sans regarder… un casque, c’est pas du luxe. Bien choisir son casque : 3 critères essentiels Homologation : vérifiez qu’il porte la norme CE EN 1078 (vélo/trottinette) Taille et maintien : il doit être bien ajusté, sans bouger, même en secouant la tête Ventilation et style : optez pour un modèle qui vous plaît (sinon vous ne le porterez pas), avec suffisamment d’aération pour éviter la surchauffe Les casques nouvelle génération Aujourd’hui, il existe des casques ultra-légers, bien ventilés, avec visière intégrée, et même connectés ! Lumières LED, clignotants, système d’appel d’urgence en cas de chute… Protéger sa tête peut aussi rimer avec technologie.
Peut-on rouler sous la pluie avec une trottinette ou un vélo électrique ?

Peut-on rouler sous la pluie avec une trottinette ou un vélo électrique ? Oui, c’est possible et même autorisé. La majorité des modèles sont conçus pour résister aux intempéries légères. Mais attention : pluie ≠ déluge ! Évitez les flaques profondes, les orages, et pensez à consulter l’indice d’étanchéité de votre engin (IP54 minimum, c’est l’idéal). L’équipement anti-pluie : la base Un bon coupe-vent ou poncho de pluie pour rester sec sans avoir l’impression d’être dans une serre tropicale. Un pantalon de pluie ou surpantalon imperméable : il s’enfile en deux secondes par-dessus votre jean Des gants étanches pour garder le contrôle même avec les mains mouillées. Une housse de sac à dos ou un sac étanche pour protéger vos affaires. Une protection pour la selle si vous roulez à vélo, parce que le plastique de supermarché, c’est non. Et côté trottinette ou vélo ? Vérifiez l’état des pneus : sous la pluie, l’adhérence diminue. Des pneus un peu plus larges ou crantés peuvent faire la différence. Freinez en douceur et plus tôt que d’habitude. La distance de freinage augmente, surtout avec des freins à disque ou patins mouillés. Évitez les zones glissantes : marquages au sol, plaques métalliques, feuilles mortes… tout ce que la pluie transforme en patinoire. N’oubliez pas d’essuyer votre batterie et vos connecteurs en rentrant, histoire de prolonger leur durée de vie Bonus sécurité : soyez vu Avec la pluie, la visibilité baisse. Pensez à : Des lumières avant et arrière bien puissantes Un gilet réfléchissant ou des accessoires fluo (même si ce n’est pas votre couleur préférée) Un klaxon ou une sonnette bien audible pour signaler votre présence Et après la pluie ? Un petit nettoyage ne fait jamais de mal : Séchez votre engin (notamment les freins et la batterie) Lubrifiez la chaîne (pour les vélos) Vérifiez les freins avant la prochaine sortie

